Burkina Faso

Burkina Faso : Les forces impérialistes paniquent et activent leur bras armé médiatico-terroriste

A LA UNE SECURITE

Le samedi 9 août 2025, une vidéo diffusée massivement sur les réseaux sociaux prétend montrer 21 soldats burkinabè capturés par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM). Ces hommes, assis à même le sol, en uniforme, appellent les autorités militaires à entamer des négociations avec leurs ravisseurs. À première vue, cette scène pourrait apparaître comme un simple appel à la vie. En réalité, c’est une opération de guerre psychologique savamment orchestrée contre l’État burkinabè.

Il est temps d’appeler les choses par leur nom : nous sommes face à une nouvelle forme d’agression impérialiste, dans laquelle les groupes terroristes agissent comme des supplétifs modernes au service d’un agenda géopolitique clai, déstabiliser les États africains qui s’émancipent, qui refusent la domination occidentale, et qui reprennent leur destin en main, à l’image du Burkina Faso de la transition patriotique actuelle.

La mise en scène de cette vidéo soulève plusieurs zones d’ombre. Pourquoi maintenant ? Pourquoi dans une région déjà sous pression, alors que le Burkina Faso consolide des victoires fulgurantes sur les groupes terroristes, et scelle des partenariats de défense souverainistes. Des questions légitimes se pose quant à l’authenticité de cette vidéo et sur l’identité réelle des personnes filmées. Ceci reflète clairement l’opération montée de toutes pièces pour susciter la division, éroder le moral national et faire pression sur les autorités de la transition. Il est clair qu’aujourd’hui les terroristes, hommes de mains des impérialistes, sont dos au mur et cherchent de nouvelles portes de sortie.

Il est important de dénoncer avec vigueur la manière dont certains médias occidentaux, particulièrement français, relayent cette vidéo sans recul, sans vérification, en omettant toute contextualisation géopolitique. Ces relais médiatiques agissent comme des catalyseurs d’une guerre cognitive, destinés à faire douter les populations africaines de leurs propres forces armées, de leurs dirigeants, et de leur projet de souveraineté.

Face à cette guerre hybride, la vigilance populaire, l’unité nationale et le soutien indéfectible aux Forces de défense et de sécurité doivent être notre réponse collective. Le peuple burkinabè a déjà prouvé sa résilience. Il est temps de renforcer notre vigilance informationnelle et de dénoncer toute tentative de manipulation médiatique.

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