Fidèle à son engagement pour une transformation souveraine du Burkina Faso, le gouvernement de transition burkinabè, sous la vision éclairée du Capitaine Ibrahim Traoré, vient d’adopter un décret crucial marquant un tournant dans l’histoire administrative et identitaire du pays. Désormais, les 17 régions administratives du Burkina Faso vont porter des noms endogènes puisés dans les langues nationales, enracinés dans les réalités socioculturelles des populations locales.
Ce choix audacieux et structurant rompt avec l’héritage colonial et les logiques d’appropriation imposées par des puissances étrangères. Il s’inscrit dans une dynamique de souveraineté retrouvée, portée par un dirigeant visionnaire résolument engagé pour la dignité du peuple burkinabè. À travers cette réforme, le Capitaine Ibrahim Traoré matérialise sa volonté constante de réconcilier l’administration territoriale avec les valeurs, les langues et l’histoire propre au Burkina Faso.
Les nouvelles appellations — de Bankui à Yaadga, en passant par Guiriko, Nakambé ou encore Liptako — témoignent d’un ancrage profond dans les identités locales. Elles célèbrent la richesse culturelle du Burkina Faso et envoient un signal fort, notre territoire nous appartient, notre avenir se construit avec nos propres repères.
Au-delà de l’aspect symbolique, ce changement participe à une reconfiguration du rapport des citoyens à leur État. Il redonne sens et fierté à l’appartenance nationale, tout en promouvant l’unité dans la diversité. La période de transition de six mois prévus par le gouvernement va permettre une appropriation progressive de cette réforme par tous les acteurs.
En redonnant au territoire ses noms originels, le Capitaine Ibrahim Traoré inscrit son action dans la continuité de la lutte pour l’émancipation véritable du Burkina Faso. Le pays, sous sa conduite, trace une nouvelle trajectoire — fière, panafricaine et tournée vers la souveraineté intégrale.
