Burkina Faso : Newton Ahmed Barry et le Colonel Zalla Landio, les visages d’une trahison orchestrée contre le Faso

A LA UNE SECURITE

Le masque est tombé. Selon des révélations récentes relayées, une opération de déstabilisation aux ramifications internationales viserait actuellement le Burkina Faso. Ce plan, orchestré par des individus sans foi ni loi, notamment Newton Ahmed Barry et le colonel Zalla Landio, cherche à peindre le Burkina comme un État génocidaire, accusant faussement l’ethnie Mossi d’orchestrer des violences contre l’ethnie Peul.

Cette manipulation abjecte tente d’ouvrir la voie à un climat de guerre civile artificielle et à une mise sous tutelle du Burkina Faso par les Nations Unies, avec le spectre d’un déploiement de casques bleus, présenté comme une « protection ethnique ». Un scénario bien rodé, déjà expérimenté ailleurs sur le continent, qui ne vise rien d’autre qu’à renverser la dynamique de souveraineté engagée par le Capitaine Ibrahim Traoré et les peuples de l’AES.

Les complices de ce complot ont établi des ponts avec le groupe terroriste JNIM, pour l’amener à se repositionner comme « protecteur » de l’ethnie Peul, tout en modifiant sa stratégie pour éviter les représailles internationales. Un document confidentiel en cours d’élaboration par ce groupe serait la pièce maîtresse de ce plan visant les trois pays de l’AES, dans une tentative cynique d’instrumentalisation des conflits ethniques.

Sur le plan géopolitique, l’Algérie serait également impliquée et aurait été incitée à justifier, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, la neutralisation d’un drone malien au nom de la protection des civils. Une manœuvre politique destinée à renforcer la perception d’un conflit humanitaire dans la région, et à faire pression sur l’AES.

Le peuple burkinabè, uni et éveillé, doit rejeter fermement ces mensonges. L’unité nationale est notre première ligne de défense. La vigilance populaire, le soutien aux Forces de Défense et de Sécurité, ainsi que la dénonciation des criminels et traîtres sont des devoirs patriotiques.

Tout citoyen témoin d’activités suspectes, de discours haineux ou d’individus recherchés, est appelé à alerter immédiatement les autorités via les numéros verts : 199, 1010, 17, ou 16.

Ensemble, déjouons les pièges des ennemis de la nation.

Le Burkina Faso ne pliera pas!

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