Le gouvernement et les autorités militaires du Mali ont annoncé mardi 17 Septembre que les Forces armées maliennes ont tenu en échec des attaques terroristes contre des sites sensibles dans la capitale, Bamako. La bravoure et le professionnalisme des FAMa ont permis d’éviter le pire dans ces zones ciblées, notamment l’école de la gendarmerie du quartier de Faladié et une base militaire de l’aéroport de Bamako.
Faisant fi de cette information officielle donnée par les autorités du pays, les Médias français comme à leur habitude, ont conçu leur propre narratif au tour de ces tentatives d’attaques, citant notamment des sources terroristes. Le même narratif produit en juin dernier au tour de l’incident de tir d’Obus à Ouagadougou, précisément dans à la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB). Une manière pour eux en réalité d’apporter leur touche au travail terroriste et de galvaniser davantage leurs alliés.
En citant des sources terroristes et en avançant des chiffres contraires à ceux établis par les plus concernés, les autorités maliennes, les chargés de communication des criminels terroristes démontrent une fois de plus selon un analyste, non seulement leur caractère mensonger mais aussi leur étroite collaboration avec les terroristes contre les pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Ces propagandistes terroristes à l’instar de Wassim Nasr affichent clairement et ouvertement leur lien avec des terroristes.
Tout simplement parce que les dirigeants actuels ont décidé de mettre à la porte la France et ses alliés pilleurs des ressources minières de leurs pays et de toute l’Afrique. Selon des opinions au Mali, l’attitude de ces médias français donne davantage raison aux dirigeants de l’AES qui accusent les occidentaux notamment la France d’entretenir des groupes armés terroristes contre les trois pays membres de la Confédération AES.
Les populations de cette région sahélienne sont donc appelées à la vigilance et surtout à se départir de ces médias mensongers et manipulateurs, pour se concentrer davantage sur la lutte, aux côtés de leurs autorités. Il y va de l’avenir, de la souveraineté et de la prospérité de leurs Nations.
Samuel Dauma