Des populations civiles, des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ainsi que des Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) dans la commune de Barsalgho ont été massacrés sous ordre des exilés burkinabè, en complicités avec des volets locaux fortement appuyé par leurs maîtres impérialistes. C’est selon certaines preuves qui circulent ces derniers jours sur des réseaux sociaux.
Dans un audio, des officiers planifient clairement et en toute liberté l’attaque des villes stratégiques du Burkina Faso, afin de pouvoir révolter la population contre le pouvoir en place. Le but selon les commanditaires est de ternir l’image des autorités de la transition en créant de l’insécurité. Aussi, ils ont pour objectif de freiner la dynamique de reconquête du territoire national et de la lutte pour la liberté tant sur le plan sécuritaire qu’impérialiste.
Leur stratégie consiste à infiltrer les populations, les soutiens à la transition installés dans les carrefours, les Volontaires pour la défense de la Patrie. Dans l’armée ils ont déjà leurs espions qui planifient des massacres avec leurs complices de la brousse, contre leurs patriotes. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle certains individus ont été mis aux arrêts tout récemment.
Selon les informations, une forte sommes d’argent a été distribué aux leaders des associations et organisation afin de multiplier leurs complices qui doivent œuvrer à l’interne, pour l’atteinte de leurs objectifs. Face à cette situation où des citoyens sont capables de sacrifier leurs compatriotes pour le pouvoir, le peuple conscient et éveillé doit redoubler de vigilance pour contrer les manœuvres qui visent la déstabilisation du pays.
Il est conseillé à la population consciente de dénoncer tout mouvement et individu suspect auprès des services compétents. Des numéros verts, tels que 1010, 16, 17, 199 sont opérationnels pour des dénonciations. C’est ensemble que les burkinabè pourront construire leur Nation. Mais les opportunistes, ceux qui préfèrent le système impérialiste ne veulent pas comprendre.
Salim Moussa
